Ce que je dénote du virtuel, c’est qu’il est franchi comme un passe-droit, un feu vert (malgré les pare-feux…) à travers lequel les individus s’autorisent à déverser leurs émotions refoulées.
Un défouloir émotionnel qui est souvent d’une tendance machiavélique, dans laquelle certains essaient de manipuler leur monde intérieur (le Mordor), une sorte de Nature Morte qu’il tentent de ressusciter. À partir de cela, leur présence dans le virtuel se veut immortelle. IRL, ces personnes usent et abusent des autres afin de parvenir à leur fin. Ou pire : ils subissent un isolement profond avec pour compagnie, une psychose en développement.
Bien que la Terre du Milieu (ou le terrain d’entente) soit difficile d’accès, il est important de ne pas autoriser le mal (ou l’ivraie, j’ai bien aimé cette jolie appellation du sujet) à l’emporter sur le bien, car ceux-ci doivent communément se compléter pour un développement continuel (cf : les civilisations).
