Les Japonaises sont souvent très jolies et presque toujours féminines (à l’instar des autres asiatiques), donc c’est une excellente destination pour passer du bon temps ???? Par ailleurs, le risque d’arnaque est quasiment nul là-bas (sauf si on traîne à Roppongi, où la plupart des clubs sont tenus par des Nigérians…). Selon moi, il n’y a que deux points négatifs au Japon :
– La pénétration vaginale est en principe proscrite, sauf dans certains endroits (j’y reviendrai).
– Beaucoup d’établissements de plaisir sont encore interdits aux étrangers. Heureusement, il y a quand même beaucoup de choix !Quelques liens :
https://tokyonightstyle.com/
https://yoasobi-heaven.com/en/
https://www.pleasureinjapan.com/blog/imazato-shinchi
https://www.wikisexguide.com/wiki/Japan
https://tokyoadultguide.com/ (le lapine.ch du Japon !)Dans les grandes villes (Tokyo, Osaka, etc.), il y a plein d’établissements qui ont des sites web en anglais. Ne pas hésiter à chercher sur Google. Les liens précités recensent déjà une bonne partie de l’offre accessible aux étrangers au Japon. Il n’y a quasiment pas de prostitution de rue, et très peu d’indépendantes. D’une manière générale, il faudra donc passer par des établissements (un peu dans le style Geneva Girls). Certains ont leur propre espace, d’autres ne sont que sur Internet et envoient la fille choisie sur photo à un love hotel (il y en a partout là-bas !). La prostitution dans un logement privé est quasiment inexistante.
Il y a une exception notable à Osaka : il existe un quartier nommé “Tobita Shinchi” (on peut le trouver facilement sur Google Maps), qui consiste en un dédale de ruelles où les filles sont toutes dans des “vitrines”. C’est Amsterdam au Japon
Il s’agit en fait d’anciens salons de thé ou petits restaurants, reconvertis en lieu de prostitution. Grâce à une faille juridique bien pratique, la pénétration vaginale est autorisée là-bas. Le système est très simple : une fois que l’on a jeté son dévolu sur une fille (pas si facile car il y a plein de bombes atomiques), il faut s’adresser à la “mama san” de l’établissement, qui montre la liste des prix (non négociables) en anglais. Ils peuvent varier, mais la moyenne est de 21000 yen pour 30 mins (donc 120 francs au taux de change actuel, hyper favorable pour nous !).
En outre, il existe une pléthore de salons de massage (les masseuses sont souvent chinoises), qui proposent quasiment tous la finition pour un prix dérisoire. Il y a plein de quartiers dans les grandes villes qui regorgent de salons de massage, il suffit de chercher sur Google ou même de se promener au hasard des ruelles ???? A Tokyo, il y a pas mal de rabatteuses chinoises pour ces salons : à éviter ! Il vaut mieux aller dans des salons qui ne racolent pas. A ce sujet, les Japonais ne font jamais de racolage agressif. Tout au plus, des invitations très courtoises (presque timides) à visiter leur salon. En ce cas, pas de problème. Mais dès que vous voyez quelqu’un vous approcher de manière insistante, il ne faut pas donner suite !
@John
Je te remercie pour toutes ces infos, j’avais pris connaissance de certaines informations mais ta participation à ce sujet vient m’apporter plus de clairvoyance! Je vous ferais un retour si je me retrouve à passer à l’acte, je dois partir pour kyoto dans 2 jours (1 jours et demi pour vous)