J’aime beaucoup ton partage, @Scotland.
Peut-être que la rigidité liée à ses refus se manifeste lorsque la moindre limite intérieure qu’elle s’est imposée, apparentée sur de la considération (le verbal, la ponctualité notamment) font qu’elle « bloque » et qu’elle préfère stopper pour sa santé psychologique. Et c’est tout à son honneur.
Sauf et cela n’est que mon avis bien sûr, on ne se risque pas dans ce genre d’activités, sachant que l’on ne rencontrera pas systématiquement des personnalités en adéquation avec notre psychisme et c’est d’ailleurs utopique.
Au-delà de cette activité, si elle devait avoir un véritable métier, comment ferait-elle également ? Seule une psychothérapie pourrait l’aider.
En fait, le curseur se déplace entre la personnalité capricieuse et/ou présentant des fragilités psychologiques. Et ce n’est pas rassurant pour elle, ni pour le client qui pense rencontrer la fille des photos (qui ne l’est pas sur toutes selon les dires) et surtout, une professionnelle qui saura donner du plaisir sexuel à un homme inconnu, en échange d’une somme financière.
Cela démontre une certaine réalité psychologique sombre dans le milieu de la prostitution. Et il est important que la travailleuse tout comme le client, puisse refuser si elle ou il ne se sent pas à l’aise pour des raisons qui leur seront proprement légitimes.