Personnellement j’ai un seuil psychologique que j’ai du mal à franchir : c’est le seuil du 400 CHF.
Ce n’est pas forcément une question de Budget : pour preuve, j’y suis allé 4 fois depuis début octobre alors que d’habitude, j’y vais plutôt 1 fois tous les 2 voire 3 mois (il faut dire que c’était 4 bombes…) : 2 fois à Genève et 2 fois en France.
Mais voilà, j’ai de la peine à claquer 400 CHF voire plus pour une partie de jambe en l’air dont on ne pas sait à l’avance si on sera au niveau ou si la fille sera à la hauteur de nos attentes.
Je regrette aussi que certaines filles que j’ai vraiment apprécié pour 250-300 CHF il y a 2-3-4 ans, me demandent désormais 400 CHF voire 450 CHF…
Elle font ce qu’elles veulent, nous sommes 100% d’accord, là n’est pas le sujet : le sujet c’est le client.
L’an dernier, je suis allé voir jolie fille (ex Golden Ladies) qui a largement augmenté ses tarifs. Le constat :même si elle était tjs aussi cool, elle n’avait quand même plus le même cul ni les mêmes hanches aujourd’hui qu’il y a quelques années.
La logique économique voudrait que la valeur d’une heure avec une escorte suive une sorte de courbe de Laffer (avec Tarif en ordonnées / Age en abscisse): il y a d’ailleurs forcément un point d’inflexion où subitement le niveau de prix devient tel qu’il n’est plus vraiment rentable pour la fille. Il vaut peut-être mieux se taper 4 clients par jours à 300-350 CHF que 1 tous les deux jours à 800 CHF.
J’ajoute enfin qu’il a un effet « taux de change » qui n’arrange pas les choses pour les frontaliers et qui préfèrent parfois se fournir localement (Annecy, Lyon, Grenoble, Paris…) au gré de leurs pérégrinations.
Pour revenir sur la France, il est clair qu’il y aussi de plus en plus de plan sympa, c’est une réalité que les escortes genevoises devraient aussi prendre en compte : Annecy, par exemple, n’est qu’à 25 minutes de bagnole et il y a des super plans à 200-250 EUR TPC pour 1 heure (en plus je ne risque pas de croiser ma belle mère au pied de l’immeuble…)
Mon opinion est que beaucoup de filles voient un peu trop la Suisse comme une Terre Sainte cloisonnée où l’on peut afficher n’importe quel prix.
Bref, il y aurait bcp à dire sur le sujet.