Forum › Forum › Discussions sur la prostitution › Mauvaise conjoncture dans le domaine… › Répondre à : Mauvaise conjoncture dans le domaine…
- Messages : 231
- Lapinaute confirmé
Dans le milieu de la santé c’est devenu infernal !
Il y a encore des praticiens qui travaillent honnêtement, même des médecins ; mais lorsqu’il y a une surveillance des assurances certains se font subtilement rappeler à l’ordre car leur pratique n’est pas suffisamment rentable aux yeux de l’assurance.
Mais pour la conscience vocatrice du praticien, c’est presque vital, mais surtout motivant.S’il n’y pas de remboursement de la part de l’assureur car le praticien n’y est pas reconnu, il y a une certaine liberté de pratique. Donc plus attentif à la solution de la pathologie qu’au bien-être de son portefeuille.
Ce qui amène à dire que la masse critique (étude insulaire japonaise avec des macaques et des patates douces) à largement été atteinte sur cette Terre et que seul le résultat financier compte.Il y a encore des gens qui sont sincères dans leur attitude avec les clients/patients, peu importe le domaine, mais la majorité est devenue horriblement vénale.
Et le client/patient comprend ou reconnaît plus rapidement lorsqu’il y a malveillance. Et il se tournera vers des personnes plus honnêtes, s’il ose changer. Sinon c’est un pigeon, ou crédule.
+1
Toutà-à-fait d’accord.
Les deux praticiens qui ont changé post-covid (au même titre que la majorité des escorts ou des professions libérales dirons-nous pour faire écho au sujet), m’ont évoquée leur ras-le-bol des restrictions imposées par l’assurance et du fait qu’ils ne s’y retrouvaient plus. Auparavant, ils mettaient en avant le bien-être de leurs patients mais tous ces changements les a impactés au niveau « humain » et ça c’est un non… Je deviens très méfiante et méticuleuse dans mes recherches dorénavant (comme les clients 🙂 ).
Avec la perte de pouvoir d’achat des clients oui je pense que c’est probablement la raison des plaintes de certaines filles du manque de clients.
Donc d’un côté il y a augmentation des tarifs et de l’autre diminution du revenu disponible pour les rencontres…cela ne peut que mener dans le mur les affaires dans notre région des filles concernées.
Donc soit elles arrêtent ou alors elles vont travailler ailleurs mais où et pour un meilleur rendement? On se posait déjà la question avec un autre forumeur il y a plus d’une année…
Et l’arrivée en masse en Suisse des jeunes latinas sous réseaux criminels qui cassent les prix pour s’emparer du marché n’a fait qu’amplifier encore le souci.
Pas simple mais parfois suffit d’un peu de jugeotte pour réaliser où ça coince et de corriger le tir…certaines y arrivent très bien et s’en sortent plutôt bien dans cette période compliquée.
Raison pour laquelle mieux vaut soutenir avant tout nos régulières avec qui nous passons des moments agréables afin qu’elles puissent revenir encore longtemps quitte de temps en temps à essayer une autre qui semble sérieuse et correcte lorsqu’elles ne sont pas là. C’est en tout cas ma priorité du moment.
+ 1
Tu es celui qui as le mieux résumé la situation précitée avec les causes et les solutions éventuelles.
Je pense que les filles “indépendantes et intégrées” qui souffrent en ce moment de la conjoncture défavorable devraient chercher à s’unir afin de trouver des solutions, chercher à se “vendre” mieux et surtout se défendre contre la concurrence déloyale de ces réseaux mafieux qui exploitent des filles.
L’union fait la force et s’il y a un nombre important de filles qui vont manifester leurs soucis auprès de Aspasie dans un 1er temps, je pense que cette dernière association sera à l’écoute et tentera de faire bouger les choses auprès des autorités.
Ceci avant qu’il soit trop tard pour bon nombre de filles…
La solidarité féminine relève d’une utopie même si cela aurait été l’une des solutions les plus correctes à cet effet. La jalousie, la fragilité psychologique et émotionnelle
(les causes sont variées : hormonales, sociétales principalement), la concurrence (instinct erroné de survie) font que la solution des « masses » seraient l’influence masculine et la soumission innée à celle-ci (mariage, parentalité, place du père). En résumé, il leur faudrait un cadre masculin « souple » qui les redirigerait (représenté par un gouvernement limité et souvent corrompu pour leur propre… appât du gain).
Je pense que c’est plus complexe que ça. La liberté donnée à celles-ci à travers l’apparenté féminisme du mouvement « Woke » de ces dernières années n’est qu’illusion également, on donne pour calmer mais on ne règle pas le soucis. Comme avec l’immigration. Enfin, je m’égare.
Enfin tout ceci pour dire que nous disposons de notre propre liberté individuelle et que les choix nous appartiennent. Nous pouvons suggérer des idées, parfois influencer mais également s’adapter aux changements (civilisation, économie…). Ainsi va la vie.
PS : et puis comme tu disais, si elles se plaignent d’une baisse constante de la clientèle, elles devraient se rediriger vers un autre emploi au lieu de persister dans leur méconnaissance du principe de l’économie et de la manipulation de celle-ci. Je pense que ceci explique en parti les nombreuses arnaques actuelles.