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Club Aphrodite, le il y a 2 mois et 2 semaines.
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19 janvier 2021 à 16 h 42 min #14576
Bonjour chers membres! Merci d’avoir accepté mon inscription. 💡 à partir de maintenant je serai heureux de vous donner des informations plus claires sur notre club et les filles. 100% d’informations réelles. https://www.clubaphrodite.ch/web/list/all Pour le moment nous n’activons que pour les services directs dans les chambres de 11h00 à 19h00, le bar/bien-être/buffet est fermé compte tenu des nouvelles mesures de sécurité contre Covid19 jusqu’au 28.02.2021 d’après ce que le conseil fédéral a établi lors de la dernière réunion. Je serais heureux de répondre à vos questions et de pouvoir vous aider.
20 janvier 2021 à 6 h 57 min #14580Au plaisir de retourner dans votre établissement en toute liberté
et sans traçage.
Sur votre propre site est il possible de traduireen français, les prestations proposées de vos hôtesses.
Bonne journée et à bientôt.
20 janvier 2021 à 7 h 26 min #14581Très bonne remarque !
Dans les FKK où elles bossent c’est indiqué qu elles embrassent avec la langue, la traditionnelle fellation nature et que toutes (rares exceptions) font la royale
Bis zum schluss ou im mund spritzen
C’est quoi le problème en Suisse romande ?
Quant au traçage, ça se voit que les gens vont nettement moins se faire tester, par peur de se faire emmerder, les chiffres chutent, les gens préfèrent rien dire.
À ce rythme c’est la moitié du pays en quarantaine en moins de dix jours
sinon pourquoi croyez-vous que le conseil fédéral boucle tout en urgence, alors que les chiffres officiels d’infections baissent depuis Noël !!!
Ils s’en sont bien rendus comptes, et que partout ailleurs ça ferme ou les restrictions se renforcent ce n’est pas pour rien.20 janvier 2021 à 11 h 55 min #14586Bonjour! Pour le tracage ce n’est pas comme tu dis, je connais mieux le système.
En ce qui concerne notre site, vous avez raison, il a été réalisé en tant que modèle suisse alémanique. Nous sommes déjà en train de faire quelques changements mais cela prend du temps.
Notre concept est de créer le premier FKK de Suisse romande, car vous êtes tous obligés de parcourir de nombreux kilomètres pour passer un bon moment en FKK.Pourquoi ne pas avoir ce privilège à proximité?
Comme vous l’avez vu avant la fermeture du bar, lundi et mardi toutes les filles nues (FKK). Les filles que vous trouvez ici venaient majoritairement de la suisse allemande, donc nous avons déjà quelque chose. Pour le reste il suffit de discuter avec les filles
20 janvier 2021 à 19 h 05 min #14605Merci beaucoup,
ce qu il voulait dire et que je partage comme point de vue, c’est que ce n’est pas interresant du tout de payer une entrée, et qu on se fasse avoir “safe sex only” ici, alors que pour moins cher en Suisse alémanique elles font tous les services-roulage de pelle à gogo
-pipe nature
-Royale 👑 +50.-et qu ainsi on soit venu pour rien 🙁
Autant mettre photos des filles, ainsi que ce qu elles acceptent de faire
(pourquoi interdire certaines prestations en Suisse romande ?) et qu on puisse s en réjouir et choisir AVANT de venir et payer une entrée !23 janvier 2021 à 13 h 25 min #14654Bonjour Aphrodite, Comment ça se passe en chambre ? masque obligatoire, désinfectant sur la bite?
25 janvier 2021 à 12 h 59 min #14703Bonjour! desinfecter les main obligatoire, pas besoin désinfecter la bite
25 janvier 2021 à 13 h 23 min #14705Nos plus belles filles sont de retour,
Tyra/Fjola/Mona/Lexy- Top service
un total de 13 super belles filles
http://www.clubaphrodite.ch26 janvier 2021 à 15 h 53 min #14750Pipe nature pour toutes ?
Royale avec supplément OK pour lesquelles ?merci
26 janvier 2021 à 21 h 23 min #14766Oui plus de description sur les services de chacunes seraient les bienvenus!!!
En tout cas bravo à la direction pour les améliorations26 janvier 2021 à 22 h 01 min #14770Pipe nature pour toutes ?
Royale avec supplément OK pour lesquelles ?merci
Et anal aussi
Si elle font la sodo ou par exemple préciser
-pas de sodomie-
sur le profil de celle qui le font pas, ça évite de venir pour rien27 janvier 2021 à 5 h 51 min #14782bonjour,
de base rien n’embrasse pas et pas de fellation nature ………….100.- d’extra et là ça devient trop cher a mon avis440.- la suite une heure
minimum 250.- la demi heure27 janvier 2021 à 11 h 36 min #14786Salut! demi-heure 150, suitte 340. felation nature max 50, il y a des filles qui se passent même sans extras.
Il n’est pas nécessaire de faire ,,l’anti-publicité. Vous devez être correct lorsque vous écrivez quelque chose
, juste pour améliorer le forum et ne pas écrire de choses incorrectes. Merci
27 janvier 2021 à 11 h 41 min #14787Voila, publié sur votre site officiel
27 janvier 2021 à 11 h 47 min #14789Pour d’autres services, tels que (anal, royal, facial, etc …) les filles n’acceptent pas de publier sur les forums. cela doit être discuté avec chacun en privé. M
ais nous trouverons une solution pour rendre les choses plus claires pour tout le monde
27 janvier 2021 à 12 h 08 min #14790J’avoue être intéressé, mais je ne comprends pas encore trop le principe de ces clubs (rencontre avec une fille, plusieurs filles, en chambre etc…).
Par contre, le texte en allemand, je ne comprends pas donc ça me freine (c’est psychologique :unsure:). Du coup, je vais continuer les escorts en privé de BMG et FG.
Mais content d’apprendre qu’une traduction sera bientôt disponible
Ça aurait été un bon cadeau d’anniversaire, mais ce sera pour celui de l’an prochain du coup
D’ici là j’aurai bien testé27 janvier 2021 à 12 h 09 min #14791C’est pas compliqué. 150.- = 30mn tout couvert. + 50.- pipe nature.
Ne vous emmerdez pas à prendre une suite. Les chambres sont très biens.Notre concept est de créer le premier FKK de Suisse romande, car vous êtes tous obligés de parcourir de nombreux kilomètres pour passer un bon moment en FKK.
Par rapport aux autres club du groupe , Zeus, club Olymp, c’est plus ou moins pareil, voir plus cher
https://www.club-olymp.ch/web/price.html
https://www.zeus.ch/web/price.html
https://www.cleoclub.ch/web/price.htmlPar rapport au sexpark https://sex-park.ch/page/preise/
120.- : 30 mn avec pipe nature de base
La comparaison avec les clubs Suisse-Allemand fait un peu mal.Bon après ça a l’avantage d’être tout prêt, discret. Le club est propre, les filles gentilles, pas agressives et on est accueilli en français
.
C’est un peu le seul FKK en Suisse-Romande.Je rêve quand même d’un tarif de base ou est compris la pipe nature et ou les extras ont un prix fixe. J’aime pas du tout marchander. Moins je parle de prix avec la fille, plus la magie est là.
Je précise que je comprends très bien que c’est compliqué d’exiger ça aux filles. En Suisse-Allemande, ils ont réussi à en faire la norme partout.
27 janvier 2021 à 13 h 09 min #14792Bonjour à toutes/tous 🙂
Nouvellement inscrit et déjà mon grain de sel 😉
Connaissant parfaitement la langue de Goethe et pas trop mal des parties de l’Allemagne et un peu son histoire (aussi celles du cul),
voici un lien qui pourrait servir (en tant que métaphore) de comprendre ces sauna-clubs (FKK), la relation Allemagne/Suisse Allemande/Suisse Romande, les différences de prix, la Suisse Romande “orpheline” en club etc.
À une prochaine
https://www.lesechos.fr/weekend/business-story/jurgen-le-roi-des-maisons-closes-en-allemagne-121134327 janvier 2021 à 13 h 30 min #14793L’article est pour les abonnés. t’arrives à copier le texte ici.
27 janvier 2021 à 18 h 56 min #14799Ok…bizarre 🙁
J’ai googlé Gerhard Schröder (ex-chancelier allemand) et prostitution, puis tombé sur cet article, copié le lien et collé ici…je ne suis pas abonné
Je remets le lien et si toujours pas ok…le texte ici.
https://www.lesechos.fr/weekend/business-story/jurgen-le-roi-des-maisons-closes-en-allemagne-121134327 janvier 2021 à 19 h 07 min #14801Du coup refait le texte côté mise en page (pas à la Mombook ;))
Jürgen, le roi des maisons closes en Allemagne
SPECIAL ALLEMAGNE – En Allemagne, la légalisation de la prostitution a permis l’émergence d’établissements spécialisés qui prospèrent. Visite de l’un d’eux avec Jürgen Rudloff, patron qui se dit habité par sa mission.Business Story
(©Sebastian Bergerpour Les Echos Week-end)
http://www.lesechos.frPar Thibaut Madelin
Publié le 26 sept. 2017 à 11:23
« On fait un tour de l’établissement et puis on monte au bureau ? » Jürgen Rudloff vibre visiblement à l’idée de faire visiter son entreprise. La sienne est juste un peu particulière. Cet homme de 63 ans au bronzage parfait est propriétaire du Paradise, connu comme « le plus grand bordel allemand » avec 5 600 mètres carrés de « surface utilisable », comme il le décrit avec fierté.
Ancien cadre commercial dans le textile, il a investi 6 millions d’euros dans ce lupanar ouvert en 2008, six ans après la réforme du chancelier social-démocrate Gerhard Schröder faisant de la prostitution une activité totalement légale en Allemagne. L’idée du texte, à l’époque, est de protéger les prostituées en clarifiant leurs conditions de travail et en leur donnant un accès à l’assurance maladie.
« Depuis, il n’y a jamais eu autant d’investissements dans cette branche », se félicite Jürgen Rudloff dans ses locaux à Leinfelden-Echterdingen, ville proche de l’aéroport de Stuttgart. Selon des estimations du Statistiches Bundesamt, l’équivalent allemand de l’Insee, la prostitution totaliserait un chiffre d’affaires annuel proche de 15 milliards d’euros en Allemagne, devenue « le bordel de l’Europe » avec plus de 400 000 prostitué(e)s.
300 clients par jour
Il ne manque rien au « centre de bien-être » de Jürgen Rudloff : jacuzzi, sauna, chambre à neige – « ça n’existe que chez nous » – bar, restaurant, terrasse, sans oublier les chambres au style évocateur. « On a choisi une décoration orientale, ça vous plaît ? » demande l’entrepreneur en déambulant le plus naturellement du monde entre des femmes nues en talons aiguilles et des clients en peignoir.En tout cas, le style de l’endroit plaît aux quelque 300 clients qui le fréquentent chaque jour – et parmi eux, c’est connu, de célèbres footballeurs. Ils acquittent un droit d’entrée de 79 euros qui leur donne accès au buffet à volonté et aux chambres. Les boissons alcoolisées ne sont pas incluses. Les hommes viennent soit seuls, soit en groupe, dans le cadre de leur entreprise, ou entre amis. Le Paradise propose de nombreuses prestations dans le cadre de salons professionnels ou pour les enterrements de vie de garçon. Les portes restent ouvertes jusqu’à 3 heures du matin en semaine.
« Contrairement à la France, les moments érotiques sont tout à fait autorisés chez nous et rendent le séjour dans notre bordel en Allemagne encore plus excitant », fait valoir la société sur la version francophone de son site Internet. Les Français sont relativement rares à Stuttgart, mais ils représenteraient environ 60% de la clientèle de la succursale de Sarrebruck, en Sarre, non loin de Metz, ouverte en 2014. Jürgen Rudloff a un moment pensé ouvrir un autre bordel (Bordell en allemand) sur la chiquissime île de Sylt, en mer du Nord, mais les locaux, parmi lesquels les plus grandes fortunes du pays, sont parvenus à faire capoter le projet.
25 euros forfaitaires versés au fisc
Entre 60 et 90 professionnelles du sexe travaillent chaque jour au Paradise. Contrairement aux 60 salariés qui travaillent derrière le bar ou font le ménage, elles ne sont pas employées mais indépendantes. « Dans le principe, je mets simplement une plate-forme de très haut niveau à disposition », explique l’entrepreneur au fort accent souabe, qu’on pourrait facilement prendre pour le patron d’une PME spécialisée dans la mécanique.Les prostituées, dont les trois quarts sont originaires d’Europe de l’Est, déboursent elles aussi 79 euros à la porte. Elles facturent ensuite leurs services directement au client et versent un impôt forfaitaire de 25 euros au Paradise, qui le transfère au fisc allemand, comme le prévoit la loi. Celles qui restent dormir dans les dortoirs de deux à six lits payent encore 23 euros par « nuitée ».
Grâce à son sens des affaires, Jürgen Rudloff s’est imposé à la tête du secteur. En plus du Paradise, qui revendique un chiffre d’affaires annuel de l’ordre de 6 millions d’euros et une marge d’environ 15%, il exploite deux autres maisons closes. Son rêve ? S’introduire en Bourse, comme l’a fait la chaîne de produits érotiques Beate Uhse, créée après-guerre et cotée depuis 1999 à Francfort. « Si ça marche, je serais pionnier. »
Ce père de quatre enfants et chrétien convaincu – « la vie sans la foi en Dieu serait impossible dans cette société » – a déjà eu quelques ennuis à cause de son activité. Fin 2014, ses locaux et son logement ont été perquisitionnés. La police soupçonne alors un trafic de femmes travaillant dans ses établissements pour le compte de proxénètes, avec des ramifications en Bosnie et en Roumanie. L’intéressé nie tout en bloc. « Comment voulez-vous que je sache si une fille travaille pour quelqu’un, demande-t-il, faussement naïf. Chacune signe un document dans lequel elle déclare ne pas travailler sous la contrainte. »« Nous sommes complètement libres, assure de son côté Clara, une prostituée roumaine de 37 ans. Dans mon pays, je gagnais 500 euros par mois comme boulangère, maintenant je me fais 2 500 à 3 000 euros. »
un « capitalisme effréné »
Oskar, un client régulier qui travaille dans l’import-export, croit lui aussi qu’il n’y a pas de maquereau derrière les « indépendantes » de Jürgen Rudloff. Il ne pense pas pour autant qu’elles exercent toutes leur métier volontiers. « C’est peut-être le cas de 10% d’entre elles, qui sont nymphomanes, mais 90% en ont besoin », estime cet homme de 43 ans qui dit en avoir connu un millier en sept ans.C’est précisément ce qui préoccupe Ursula Matschke, conseillère municipale en charge de l’égalité des chances à Stuttgart, où 1 500 prostituées travaillent légalement et 3 000 illégalement, selon ses estimations. « C’est naïf de penser qu’avec la libéralisation, les femmes seraient en mesure de travailler librement, dit-elle. Pour la très grande majorité, ce n’est pas la réalité. »
Selon elle, l’ouverture du marché du travail aux Bulgares et Roumaines, en 2014, a fait affluer des milliers de jeunes femmes pleines d’illusions, dépendantes et démunies. Avec pour résultat direct des « surcapacités » flagrantes, entraînant une logique chute des tarifs. Si les femmes du Paradise facturent la passe à 50 euros en moyenne pour une demi-heure – « Französisch [fellation, NDLR] et rapport sexuel compris », précise Clara –, celles du centre-ville la proposent pour 20 euros environ.
« C’est le capitalisme effréné », juge Ursula Matschke, qui compte sur la nouvelle loi entrée en vigueur le 1 er juillet dernier pour corriger les dérives de la libéralisation. Celle-ci impose notamment une déclaration d’activité aux prostituées, l’utilisation de préservatif et une autorisation d’exploitation aux tenanciers, qui pourront désormais être contrôlés à tout moment par la police.
Pour Michael Beretin, fondateur de la fédération allemande de l’activité érotique (BDDE), cette loi a surtout un objectif financier : il s’agit d’éradiquer le racolage dans la rue et fermer les petits établissements pour ne garder que les gros, comme le Paradise… où il œuvre comme conseiller en communication. « Le but est d’avoir plus d’informations sur les femmes pour leur prendre plus d’impôts, pas de les aider », tranche-t-il.Jürgen Rudloff espère en tout cas pouvoir continuer à diriger ses établissements. « Pour moi, la réforme de cette branche, passée de la contrebande à une activité transparente, c’était ma mission. C’est pour elle que je vis et que je mourrai, affirme cet homme à vrai dire insaisissable, dont l’avenir dépend de l’enquête judiciaire en cours. Si je ferme, les dames continueront à faire ce job, mais pas dans les mêmes conditions. »
Le premier « marché » d’Europe
Même s’il est difficile d’obtenir des chiffres précis, les autorités estiment qu’il y a autour de 400 000 prostitué(e)s en activité en Allemagne. Environ 90 000 dans des établissements enregistrés comme le Paradise, pour un chiffre d’affaires de 5,5 milliards d’euros ; plus de 72 000 dans la rue ou dans des véhicules (2,7 milliards d’euros) ; 60 000 comme call-girls ou call-boys, qu’on trouve dans les petites annonces des journaux ou sur Internet (3,6 milliards d’euros) ; enfin 180 000 dans d’« autres » formes de prostitution – table dance, cinémas spécialisés, plates-formes téléphoniques (2,7 milliards d’euros).Par Thibaut Madelin
28 janvier 2021 à 7 h 01 min #14804Désolé si je vous mon texte ne vous plais pas mais c’est ce que je pense .
28 janvier 2021 à 7 h 07 min #14805Salut! demi-heure 150, suitte 340. felation nature max 50, il y a des filles qui se passent même sans extras.
Il n’est pas nécessaire de faire ,,l’anti-publicité. Vous devez être correct lorsque vous écrivez quelque chose
, juste pour améliorer le forum et ne pas écrire de choses incorrectes. Merci
Désolé si je vous mon texte ne vous plais pas mais c’est ce que je pense .
j’ai été un très bon client pendant des années avant que vous ne repreniez le club,j’y suis venu régulièrement aussi depuis
depuis le covid de cette automne j’y suis plus revenu
mais a ce moment là le supplément “embrasser fellation nature ” était de 100.- pour la majorité des filles
j’y ai passer d’agréable moments 180.-les 45 minutes 100.- d’extra 30.- l’entrée………. 2 rapports avec ms favorite c’était super correct
malheureusement elle a quitter le cluben comparaison a d’autre club de suisse allemande (dont 2ou vous en êtes le directeur notamment )les fille partent en chambre motivée pour passer un bon moment ici c’est des princesses moins elle en font mieux c’est
une autre question pourquoi les filles ne ferait elle pas un tournus entre vos différents clubs ?
comment ça ce passe actuellement vu que le bar est fermé? on choisi les filles sur le site et on va en chambre ? ou on peu rencontre les filles et leur parler ?
Je vais passer au club la semaine prochaine pour voir si il y a eu du changement et je serais très content d’en parler sur le forum
je vous remercie de prendre part a la discutions c’est certainement benefique pour les clients28 janvier 2021 à 14 h 13 min #14814La plupart des filles se sont déjà habituées au club dans lequel elles sont arrivées pour la première fois.
Il y a aussi celles qui veulent changer pour essayer, mais la plupart ne veulent pas.
Nous ne pouvons forcer personne à venir ou à partir. Comme vous le savez déjà, les filles ont leurs clients au même endroit, et après quand elles changent tout le monde n’est pas disponible pour se déplacer pour le visiter,simplement parce qu’elles sont les favorites (elles trouvent un autre favori … simple)
Pour le moment le bar est fermé.
Vous pouvez trouver les filles sur notre site Web. sinon, venez directement ici à la réception, afin que vous puissiez voir toutes les filles et choisir.
Oui vous pouvez leur parler pour connaître leurs services -
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