A Istanbul, il n’y a que l’embarras du choix.
Dans la partie sud de la rive européenne de la ville, dans presque toutes les rues, tu trouveras des salons de massage, indiqués en anglais, généralement à l’entresol, dans lesquels officient de très jolies Russes et Ukrainiennes en majorité, pour des tarifs très compétitifs.
Les prestations sont à négocier sur place, au vu de la « masseuse », qui offre beaucoup plus que des massages…
Mais comme la loi dans ce pays dirigé par des Islamistes « modérés » interdit les escorts et la prostitution, il faut en passer par le subterfuge de ces salons de massage…