Perla geneve

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    Lipo
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      http://www.geneva-girls.ch/geneva-girls-iv-20.html?club=192&g=1339

      Visiblement des poches sous les yeux, fatiguée? La fille mignonne, mais loin d’être un canon.
      Etat d’esprit de cette fille : “Tu viens, tu payes, tu fais ce que t’a à faire, tu fais pas de mal, et tu te casses”.
      J’aurai presque résumé par cette phrase.
      La différence entre cette fille et la rue dans sa façon de parler, c’est qu’on est dans une chambre.

      Après m’avoir demandé de prendre une douche (ça va j’y serais allé !), elle prend la sienne et s’essuie avec n’importe quelle serviette qui lui tombe sous la main : propre, mais négligée dans sa façon d’être.
      Elle s’allonge et commence plus par m’empoigner passivement le zgeg tout en commençant de ronfler et a faire plus semblant de le secouer (tout en le tenant, ça vous donne une idée de combien c’est agréable) qu’à réellement m’exciter. Sa m’énerve au bout de 30s, je lui colle dans la bouche direct pour qu’elle bosse un peu … elle fait la gueule mais s’exécute mollement. Aucun entrain ! On sent la fille qui ne fait pas cette activité par plaisir comme on arrive à en trouver.
      La greluche a ses exigences, Ah il faut qu’on “la respecte car elle est un être humain”. Elle m’a dit ça environ 4 fois en 30 minutes, dont la première je venais à peine de lui dire bonjour.
      Et c’est du : “Ah non, là tu tapes dans l’os comme le précédent et ça me fait super mal !”

      Bon, on change de position et elle se dépèche de m’enfiler dans le pussy. Je termine, je me rince, je me casse.

      Pas même un petit bisou de départ. D’ailleurs, elle n’est pas non plus venu le chercher. C’est la première fois que j’ai l’impression de tirer une vache, que je baise comme si j’étais un clebs, plus par besoin physiologique que parce que j’ai partagé un tendre sentiment de complicité avec la fille que je tiens dans les bras : un acte client / vielle prostituée à l’état brut, et même pas le plaisir du rut, du jeu, de la coquinerie et tout et tout.

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