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Oui, je suis d’accord avec ce point de vue.
À mon avis, on peut déterminer qu’il s’agit d’une occasionnelle quand elle ne tire pas l’essentiel de son revenu de son activité de TDS. Pour mettre du beurre dans les épinards ou aider à gérer les fins de mois difficiles. Mais c’est vrai que c’est difficile à estimer comme situation.
Ceci dit, ce n’est pas du tout l’impression que m’a faite la personne dont j’ai parlé précédemment.
Sur petitesannonces.ch on trouve le meilleur et le pire… une fois n’avais rencontré une occasionnelle par ce site… une jeune noire magnifiquement belle… mais c’était tout. On le faisait sur le canapé, elle s’en fichait, elle continuait à regarder son téléfilm! Une poupée gonflable aurait été plus attentive. J’avais tenté un baiser sur la bouche « pas sur la bouche nom de D…!!! »
Cela dit, j’ai pu trouver quelques perles aussi.Oui, y a de tout sur petitesannonces.ch, surtout des fantômes.
Occasionnelles est un terme qui n’a pas beaucoup de sens,comme la plupart des termes utilisés dans le cadre de la prostitution.
Dans ma définition subjective,ce sont des femmes pour qui la prostitution est une activité annexe. Souvent elles recherchent des clients réguliers et en ce sens limitent la publication de leurs annonces. Certaines d’entre elles sont actives régulièrement, mais n’ont aucune annonce en ligne,elles se contentent des clients qu’elles connaissent déjà. L’aspect occasionnel ne concerne donc pas leurs rencontres, mais la recherche de nouveaux clients.
Dans mes rencontres, j’apprécie le côté «local» dans le sens que ce sont des femmes installées proche de chez moi. Je n’ai donc pas forcément à attendre qu’elles soient de passage dans ma ville pour pouvoir les rencontrer. Cet aspect local permet aussi un échange plus facile de banalités pour amorcer des discussions. Celles que je fréquente ont d’ailleurs plutôt tendance à facturer une rencontre plus qu’un temps. Non que ce soit du sexe non stop, mais il m’arrive facilement que la rencontre dépasse largement l’heure pour un prix toujours identique.
Scrutant régulièrement petitesannonces.ch,je suis d’accord avec l’aspect marketing du terme certaines occasionnelles postent tous les jours, ou toutes les fins de semaines,etc. Il y a pas besoin de creuser beaucoup avec certaines étudiantes pour comprendre qu’elles ne connaissent rien au domaine qu’elles sont sensées étudier et ainsi de suite.
En effet l’immense majorité des filles se disant « étudiantes » le sont tout autant que celles qui prétendent être « occasionnelles »…du pur marketing et rien de plus.
Sur petitesannonces j’avais rencontré 3-4 vraies étudiantes (dont une jolie grecque qui s’était dégonflée alors qu’on était déjà sur le lit – comme quoi on ne s’improvise pas prostituée).
Mais avec une j’avais des doutes au vu de son français et de sa disponibilité aussi bien en salon qu’à domicile chez moi…
De toute façon, « étudiante » ça peut aussi être du marketing, ça peut en faire fantasmer certains…Sur petitesannonces, j’ai rencontré une femme qui est ensuite devenue ma collègue. Dans un service un peu lointain et quelques années plus tard. Pour le coup, c’était une vraie amatrice, elle avait utilisé une adresse mail du genre prenom.nom@machin.com. Ses mails étaient signés de son vrai nom. J’avais fait une rapide recherche pour constater qu’on travaillait dans le même domaine. Quelques années plus tard, j’ai changé de boulot et me suis retrouver à la même place qu’elle
Ça m’est arrivé une fois de rencontrer une vraie occasionnelle qui était aux études et moins d’une année après elle se présentait à un entretien d’embauche. Je l’ai évidemment engagée.
Ce n’était pas un entretien de débauche plutôt?
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