- Ce sujet contient 15 réponses, 13 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par bontedivine, le il y a 10 mois et 4 semaines.
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Salut la communauté,
A-t-on une idée du revenu mensuel moyen brut que peut espérer obtenir une TDS ? En moyenne…
Je fais un calcul à deux balles : ( 3 clients de 60 minutes / jour ) x 300 / heure ( moyenne ) => 900 / jour ; à 15 jours / mois, cela donnerait 13’500 CHF bruts mensuels ( avant loyer, pubs à payer, éventuel « commission salon » ou autre ).
Qu’en pensez-vous ?
the_driver- Messages : 450
- Lapinaute bronzé
C’est pratiquement impossible de se faire une idée. Tellement c’est variable.
Une escort qui a par exemple un permis B résident, ou permis C, ou encore nationalité Suisse ne répondra pas aux mêmes conditions qu’une immigrante.
Si on prend le cas le plus commun, une immigrante a souvent droit à 3 mois par ans.
Une fois par jour, l’impot Suisse (dépend du Kanton) exigera sa dime à l’escort, je connais une qui paye 20CHF / jour par exemple (Kanton Luzern).
Ensuite, si la miss n’est pas indépendante, et qu’elle dépend d’un « maitre de maison », appelé le « dono da casa », et qui s’apparente à la notion de salon / maison close, dans ce cas, le maitre prend lui aussi sa dime, c’est à dire 50% voir 60% du prix que le client va payer. Le maitre de maison gère les profils des filles. Dans certains cas, ce n’est pas le cas, et la fille doit en plus payer sa vitrine fGirl, mais c’est + rare.
Même quand tu va dans des « appart qui paraissent indépendant », en realité il y a souvent un « dono da casa » qui gère plusieurs filles, chacune avec son appart / piece.Quand toi tu paye 300CHF pour 1 heure par exemple, dis-toi que l’escort a en realité gagné qu’a peine 130 CHF : 150CHF pris par le « maitre de maison » -20CHF de la dime suisse.
tu comprend alors que la realité du gain d’une escort est vraiment tout autre.
Enfin, le nombre de clients par jour est très très variable. J’ai une amie du coin qui me dit que parfois, elle arrive à avoir 3,4 clients, mais elle a connu aussi des journées totalement vides de clients, voir rester 1 semaine entière sans que personne ne viens. Et ça peut représenter énormément d’argent de perdu.Une autre escort m’a confié qu’il est souvent plus rentable de changer chaque semaine de ville, car cela permet d’avoir « de nouveaux clients », car la fidélisation client est plus compliquée que d’en avoir des nouveaux.
Elle m’a dit que par exemple quand elle arrive dans une ville, la première semaine est souvent plus interessante, et celles qui suivent souvent vides, ou raréfiées.
Certaines escorts qui ne le savent pas restent 3 mois au meme endroit, mais avec au final très peu de gain.Une autre escort a également souligné lors de conversation l’importance de « prendre soin de soi ». Une escort a cette obligation, et c’est très très très très cher, et nous clients, on ne l’imagine absolument pas :
– La lingerie (souvent Louboutin, Victoria Secret..) car il faut des lingerie de qualité, capable de résister dans le temps car elle va la mettre, l’enlever, la remettre très très souvent, vous imaginez donc que c’est pas du Shein. Mais aussi différents vêtements.
– Tout ce qui est lié au soin de la peau : Une escort fera beaucoup plus de peeling, AHA / BHA, d’acido hialuronico, retinol, Vitamina C, et aura besoin de différentes choses (collagen etc…).
– Soin des cheveux (ça peut très vite grimper)
– Maquillage, pareil, là encore, une escort peut avoir d’énormes dépenses sur le sujet.
– Voyages : Une escort peut beaucoup se déplacer. Je m’en suis rendu compte en servant de chauffeur pour une escort. Ayant souvent des affaires, valises, et ne connaissant parfois ni la langue ni très bien les transports, une escort d’une gare à son lieu de travail paye souvent plusieurs Uber par ex. Tout ce qui est voyage est très cher. + le prix du billet d’avion, car ça aussi il faut le prévoir : Un aller par ex du Brésil jusqu’à Génève, ça coute 1200 / 1500 CHF, le retour pareil.
– Une escort souvent étrangère doit payer plusieurs forfaits de téléphone, souvent du prepayé, a plusieurs numéros etc… Et consomme beaucoup de datas internet.
– Une escort doit « manger ». Et contrairement à nous, elle n’a pas toujours beaucoups de choix : Certains endroits disposent d’un microonde basique, d’autres d’une vraie cuisine, et d’autre n’ont rien du tout. Elles sont donc plus susceptible d’aller consommer le petit dej au café du coin, et le repas dans des resto / macdo a prix abordables. Mais ça représente une note importante a la fin du mois quand même.
– Une escort doit aussi régulièrement faire, comme refaire des photos, et ça, elles payent souvent un photographe pro… Et le prix d’une seance photo, ça peut vite exploser ! Une escort m’a dit qu’en effet, les photos et le renouvellement de celles-ci sont très importantes. Et que la difficulté est d’en avoir énormément, sur différents thèmes, car dans chaque ville, la clientèle est différente. Elle m’a par exemple expliqué qu’a Génève, des photos plus « natures », avec des tresses fonctionnaient mieux, alors qu’a Zurich, un thème plus industriel, des cheveux lisses marchaient mieux…
– Certaines escorts peuvent également faire des soins voir des opérations toutes particulières dans le but de se différencier. Je connais une brésilienne qui va régulièrement payer des seances de bronzages pour faire « les marques », une autre va investir dans la chirurgie esthétique, etc…. On imagine pas les frais, c’est pharaonique.
– Les frais liés à la santé et hygiène, les tests réguliers etc…
– Si l’escort est indépendante, elle doit payer un loyer, des impots + elevés, une lamal, et divers frais (elec, tv etc).
– enfin, il y a des mois « où ça ne fonctionne pas » :
==> LE mois de DECEMBRE est très difficile pour une escort, les gens sont en famille bien souvent, et pensent à autre chose qu’a des rencontres tarifées
==> Le mois de MAI avec tous ses jours fériés (les ponts = familles ou amis !), ou la fête des meres… Mauvais, très mauvais pour une escort
==> Tout l’été, Juillet et Aout sont, selon ce qu’on m’a dit, des mois très compliqués aussi.Estimer le revenu mensuel moyen me parait donc impossible, strictement impossible, car la realité que vit chaque escort est bien trop différente, et la dispersion de salaire est énorme, voir abyssale.
Certaines doivent sans mal arrivr à se faire du 15 000 CHF brut (ern réel ,tu peut donc diviser par deux et te dire que son gain réel est plutot proche des 7K)
mais d’autres, surtout les filles ayant des maitres de maison, ou salon, doivent péniblement arriver à gagner en net en enlevant toutes les dépenses dont j’ai parlé ci-dessus 1K, 2K, peut-être 3K.
Et ce gain ne deviens viable qu’en convertissant : Gagner 2000CHF net en 1 mois par exemple, convertis en réais Brésilien, te permet de vivre correctement pendant environ 8 mois au pays.En Suisse, de ce que je sais de mes maigres expériences en temps que client, et du vécu partagé par quelques escorts, la concurrence est très rude, il y a beaucoup d’escort par rapport au nombre de clients sur ce marché.
Je ne suis donc pas le mieux placé pour te répondre, j’ai tout de même essayé, car j’ai d’excellentes relations, amicales nottament, avec quelques escorts, toutes étrangères, latines, ducoup j’ai tout de même une idée du vécu qu’elles ont partagés avec moi , ou que j’ai pu voir de mes propres yeux. Certaines ayant une grande confiance, m’ont même montré le fichier Excel produit par le « dono da casa », listant tous les services, de chaque jour, et le total… C’est très instructif de parler avec des TDS et d’essayer de comprendre leur realité, j’ai appris énormément de choses. Egalement, il faut souligner qu’une escort peut rencontrer différents problèmes au cours de sa vie professionnelle, et qui va durement impacter ses revenus :
– Certains « dono da casa », ne jouent pas le jeu, et profitent de la fragilité linguistique et le manque de connaissances de l’escort pour ne pas payer ce qu’elle aurait du recevoir. J’ai une fois aidé une escort à récupérer son argent, gardé par un « maitre de maison », qui voulait qu’elle parte sans payer la semaine qu’elle avait fait, et profiter du fait qu’elle ne parlait pas la langue et ne connaissait pas les lois.
– Une escort peut tomber malade (froid, s’adapter au climat d’ici), ou encore choper des trucs moins sympa (maladies sex tr, etc) qui font qu’elle peut rester plusieurs jours sans gagner 1 centime.
– Aussi, une escort peut « se faire jeter dehors » par un salon ou un dono, et dans ce cas, c’est autant de jours perdus car il faut en trouver un autre dans l’urgence, mais aussi payer un hotel en attendant !
– Certains dono da casa vendent aussi du rêve, font venir des escorts, et ne leur met aucune vitrine, ni visiblité, ou dans un coin paumé ou aucun client n’ira, ce qui font qu’elles ne peuvent travailler. Là pareil, perte de temps énorme.
– Les complications pour se faire livrer des produits, objets ou autre. Une escort m’a dit qu’une fois, son maitre de maison lui a volé un colis contenant un telephone pro, et une autre fois, une autre escort lui a volé un paquet contenant des produits de beauté. Les filles entre elles ne se font parfois aucun cadeau, c’est très compliqué. (et ça coute là encore de l’argent)Par contre, il y a des escorts sur ce forum, tel que @bontedivine, @leonna et autre qui ont surement des éléments bien plus interessants que les miens à partager pour te répondre
À l’ancienne certaine pouvait toucher des 7’000frs mais plus pendandt ces temps-ci, beaucoup sont parti de geneve car ça ne rapportait plus rien.. andrea la brésilienne est au alentours de 3’500frs. Elles sont pas des clients tout les jours, c’est souvent la fin du mois ou le début du mois. Y’a beaucoup de filles, donc beaucoup de concurences et pas tout les mecs font appels à ses services la. Marta une espagnole à arreter de venir à geneve par exemple. Pour les latinas ça reste une bonne affaire le francs suisse.
Je vais être bien plus bref dans ma réponse que celle de @the_driver que je remercie à nouveau pour son explication quasi exhaustive.
Donc totalement impossible de citer un revenu « moyen » tant les paramètres sont nombreux…il y a des années, une étude avait été effectuée, sauf erreur selon ma mémoire (pas le temps de rechercher le lien), en Suisse alémanique auprès de plusieurs centaines de TDS et il en ressortait qu’en moyenne les filles avaient 1 ou 2 clients par journée de travail.
Voilà c’est à peu près tout comme information…pas d’infos sur le nombre de jours de travail moyen par mois, la durée des rencontres, les tarifs pratiqués, etc.
Petite précision qui a toute son importance: cette étude a été effectuée si je me souviens toujours correctement…avant la pandémie.
Depuis beaucoup d’eau à coulé sous les ponts et il serait intéressant de refaire ce genre d’étude.
Après peut-être que la bonne question aurait pu être: est-ce que les filles gagnent suffisamment pour obtenir un pouvoir d’achat intéressant là où elles utilisent la majeure partie de leurs revenus?
PS: je précise pour la forme que le chiffre de 1 à 2 client(s) par jour de travail est bien…une moyenne et comme dans tout il y a des exceptions, avant qu’un forumeur me balance sous les yeux l’agenda d’une escort/businesswoman genevoise bien connue. Elle fait vraiment partie d’une petite « niche » à part, sur le grand nombre de filles/femmes, qui ont su/pu faire « tout juste » ou presque dans la profession.
Post Covid, certaines filles (dont une que je voyais à l’époque et qui m’avait demandé de l’aider à compter sa grosse enveloppe A5 pleine de billets de banque) avait encaissé 40 k en 6 semaines…elle est revenue en Suisse quelques mois plus tard pensant a réaliser la même somme : elle a encaissé pendant le même laps de temps, moins de la moitié. Comme quoi il faut tenir compte comme le dit Sexdrug de plusieurs paramètres, cette fille me disait que les jours pluvieux, elle travaillait bien mieux que les journées de soleil et paradoxalement, elle travaillait bien mieux du lundi au vendredi que les week-ends…les samedis étaient la plupart du temps catastrophiques….pendant les vacances scolaires elle travaillait très peu la plupart de ses clients étant mariés et ayant des enfants. Elle me disait également, qu’une bonne escorte est une escorte qui se déplace souvent, même les clients réguliers se lassent au bout d’un moment, il fallait donc créer le sentiment de « manque ». Bref, je pense qu’il est impossible de chiffrer ce que peut gagner une fille.
the_driver- Messages : 450
- Lapinaute bronzé
Je confirme par les échos que j’ai eu egalement de mon coté, c’est devenu très compliqué après le covid.
Mastic- Messages : 1175
- Lapinaute doré
Et ce n’est que le début…
Avec la crise économique et l’hyperinflation qui ira avec…
Ça ne va pas s’arranger…
Les belles années sont dans le rétroviseur…
Post Covid, certaines filles (dont une que je voyais à l’époque et qui m’avait demandé de l’aider à compter sa grosse enveloppe A5 pleine de billets de banque) avait encaissé 40 k en 6 semaines…elle est revenue en Suisse quelques mois plus tard pensant a réaliser la même somme : elle a encaissé pendant le même laps de temps, moins de la moitié. Comme quoi il faut tenir compte comme le dit Sexdrug de plusieurs paramètres, cette fille me disait que les jours pluvieux, elle travaillait bien mieux que les journées de soleil et paradoxalement, elle travaillait bien mieux du lundi au vendredi que les week-ends…les samedis étaient la plupart du temps catastrophiques….pendant les vacances scolaires elle travaillait très peu la plupart de ses clients étant mariés et ayant des enfants. Elle me disait également, qu’une bonne escorte est une escorte qui se déplace souvent, même les clients réguliers se lassent au bout d’un moment, il fallait donc créer le sentiment de « manque ». Bref, je pense qu’il est impossible de chiffrer ce que peut gagner une fille.
C’est intéressant, je pensais justement que les jours pluvieux les escorts se faisaient pas ou peu de clients. Et que c’était les week-ends ensoleillés où elles travaillaient le plus.
C’est comme ça que je fonctionne, je vais les voir les jours de beaux temps et souvent en fin de semaine, je viens de réaliser que je fonctionnait à l’envers par rapport aux autres clients
En ayant lu tous les commentaires, je commence à penser qu’une fille en vitrine aux Pâquis peut gagner plus qu’une escort sur un court lap de temps. Certaines, aux Pâquis, m’ont déjà dit faire des nuits à plus d’une dizaine de clients. Surtout l’été et quand il fait chaud, contrairement aux escorts. En plus elle peuvent bosser « à la chaine » on va dire, sans trop se fatiguer. J’imagine qu’une fille qui ne reste qu’un à trois mois, c’est plus rentable pour elle d’aller en vitrine.
Mais que si elle reste plus longtemps, là, les gains seront beaucoup plus conséquents si elle fait escort.Et comme le dit Mastic, avec la crise économique, les choses ne vont pas s’arranger : beaucoup de filles que je rencontrais, ne viennent plus en Suisse, Genève et Zurich ne sont plus les Eldorado du passé, elles vont chercher fortune sous d’autres horizons..
Quelques rares filles ont très bien compris le marché et donnent un service de très grande qualité ( Carotoscan, Rachelle, Alicia à Lausanne, Robine qui a malheureusement arrêtée ). Elles ont des agendas remplis et doivent très bien gagner leurs vies.
Mais malheureusement la grande majorité des tds n’en ont tout simplement rien à foutre ( surtout les jeunes latinos) et pour eux c’est plus compliqué. Mais je crois qu’avec ce qu’elles gagnent ici, ça leurs permet d’acheter un bien immobilier dans leurs pays et en quelques années il est payé et on ne les revoit plus. Ce qu’elles ne réalisent pas, c’est que si elles s’investissaient un peu plus , leurs carrières seraient plus courtesGyzmonde- Messages : 647
- Lapinaute argenté
En 15 ans, plus de bars/clubs et plus d’indépendantes donc c’est normal que la part du gâteau diminue.
En 2012 au ex Cheyennes/Monte bar rebaptisé Crispi une des meilleure (ou la meilleur, Geniffer qui à arrêté en 2021) se faisait au mieux 30.000/moi, maintenant c’est même pas 10.000 bien sur brut, pour une « bonne »
A noter que certaines de ses filles sont toujours dans le coin, Aigle, Martigny, Sierre, ou sont revenues sous un autre nom. Je pense à Florentina, Carmen, Erika, Simona, Daniela, Sophie, Ingrid Cristal, Christelle..(mitch doit en connaitre quelques une)
et j’en passe, si elles sont toujours dans le métier c’est qu’elles gagnent encore plus que chez elles. Souvent pas 1000.- Euro par moi
Pour la Suisse suivant le permis d’établissement, les frais d’ assurances, impôts, AVS, loyer..et j’en passe, la fin du moi n’est pas le même.Et on revient toujours sur le même problème : les latinas ont cassé les prix, les filles européennes ne veulent pas travailler pour ces tarifs-là, du coup beaucoup ont quitté la Suisse..c’est bien dommage…
Et on revient toujours sur le même problème : les latinas ont cassé les prix, les filles européennes ne veulent pas travailler pour ces tarifs-là, du coup beaucoup ont quitté la Suisse..c’est bien dommage…
Pas que la Suisse. En France, le constat sur EscortFr est que 70% de l’offre en province est désormais occupé par des latinas généralement aussi médiocres que les médiocres réseaux qui inondent la région lémanique (je ne dis pas qu’elles sont toutes nulles, juste que par défaut on va se méfier tant qu’on n’a pas un retour concluant d’un courageux). Le niveau de vie en Europ ede l’Est avait augmenté au fil des années, ce qui limite un peu l’attrait de la profession ou en tout cas l’intérêt de venir faire le job par ici, et la guerre en Ukraine a considérablement réduit les flux venant de cette région. Et encore, le revenu marginal dont dispose le Suisse moyen pour ses loisirs, dont cette occupation, reste encore significativement plus élevé que dans le reste de l’Europe occidentale.
Savoir combien gagne exactement une escort, c’est un peu comme savoir combien gagne un trader, c’est un petit peu au bonheur la chance dans le sens où chaque profil est totalement différent, chaque personne a une manière de travailler,
Ainsi que sa clientèle, et autres .. malgré les millions de similitudes entre les profils reste tout de même une immense différence au niveau des gains, fidélisation clientèle et autres..
Certaines peuvent gagner 1000Fr voir plus par jour quand d’autres ne gagnent cela que par semaine..
À noter bien évidemment qu’il y a de nombreux frais tel que la publicité , avoisinant parfois Souvent entre 200 et 1000Fr par mois,
les logements pouvant aller entre 600Fr et 1000 franc la semaine..
L’Avs , différentes cotisations et comme l’ont dit précédemment d’autres évidemment les frais liés à l’activité professionnelle que ce soit le matériel ou bien l’investissement ( pour de la lingerie ou autre selon pratiques..).Je rejoins tout à fait les commentaires de @Gabriel.
C’est tout à fait vrai qu’au bout de 2-3 fois avec la même on a envie de changer.Les filles qui disent avoir 1-2 mecs par jour, je n’y crois pas vraiment (sauf pour les boudins à vent).
C’est un peu comme si tu te faisais goaler par ta régulière et que tu lui disais « nan t’inquiète pas chérie, je n’y étais jamais allé avant… » ou « c’était pour essayer, j’avais un fantasme je n’osais pas t’en parler tu vois »… MDR
90% des meufs à qui tu poses la question vont pas te dire « ouai, t’es le 10ème de la journée, après toi je mets le couvercle »… BeuuuuurkPour le reste, le Covid c’est bien sympa comme excuse, mais encore une fois sur la Suisse, tout est trop cher, les filles ne font pas exception.
Certaines sont passées de 300 CHF à + de 450 voire 500 CHF en 4 ans, cela me semble abusé surtout que les prestations ne suivent pas forcément, on se croirait sur Easyjet, bientôt il faudra payer pour aller se doucher.Perso, au delà de 400 CHF, je commence à hésiter, je me tâte, je me dis « est-ce bien raisonnable…en as-tu vraiment besoin… ça va te passer » sachant qu’il y a bcp plus de choix en se promenant en France ou en Europe à des prix bien plus raisonnables et pour des nanas tout aussi jolies voire mieux (attention, je comprends aussi que le logement et le coût de la vie est plus cher ici ce qui peut constituer un argument pour de tels prix)
Après je n’ai aucun doute sur le fait que certaines filles qui pratiquent des tarifs élevés ont certainement un agenda bien chargé.
Et si elles sont heureuses comme cela, c’est tant mieux.Quoiqu’il en soit pour moi, le facteur prix c’est comme la Courbe de Laffer… passé un certain niveau, cela devient contre-productif.
Le coût de la vie a certes connu une inflation majeure mais je ne pense pas que cet élément fasse que les escort girls connaissent une pénurie.
Il y a certes de nouvelles formes de prostitution, influencées par la libre circulation et les réseaux sociaux, tels que les réseaux de prostitutions actuels, les différents concubinages, mariages et familles fondées avec des hommes fortunés, mais je pense que cela ne suffit pas à établir des généralités et encore moins à causer une insuffisance salariale chez l’escort voire, une pénurie de bonnes professionnelles chez le client.
Je pense qu’il faut s’adapter aux différents changements qui nous entourent, étudier le marché, ses propres besoins et foncer (et défoncer !
). Le but n’étant pas de finir frustré et contrarié, mais plutôt heureux et libre. Et il y a toujours des solutions. 
Sinon, je rejoins essentiellement the driver, sexdrug et gabriel sur le marché classique.
PS : la fidélisation du client est plutôt monnaie courante. Je pense que chez une professionnelle expéditive et trop commerciale, cela se produit rarement. Je persiste à penser qu’il est toujours favorable de changer de filles pour un client, afin de s’émanciper sexuellement, tout en gardant des régulières dans le calepin. 🙂
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